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Diogène de Sinope

Féminin pluriel

Non rien de rien

Fantaisie pour la rime

Tornade

Tableau

 

 Pastiches

 

 Le poivrot (Polernaz)

- Le Pélican (A. de Musset)

La cocaille (Polernaz)

- Il était sur  son char(Phèdre/Racine)

Le quignon (Polernaz)

- LeGuignon (Baudelaire)

Pot-au-feu (Polernaz)

 -  Lorsque sous la rafale (Moréas)

 Bernard et Irma (Polernaz)

 -  Caligula IIIème chant(de Nerval)

Laissez-moi dormir(Polernaz)

 -  Vous çetes mort un soir(de Noailles)

Né en avril(Polernaz)

 -  Veillée d'avril(Laforgue)

Nature Morte (Polernaz)

- Sur un portrait du Dante (Nelligan)

Maladie d'amour (Polernaz)

- Quand quelquefois je pense (Desportes)

Mâle du pays (Polernaz)

- Heureux qui comme Ulysse (Du Bellay)

Dive bouteille (Polernaz)

- Hier au soir (Victor Hugo)

Chanson bretonne(Polernaz)

- Chanson d'automne (Verlaine)

Ninon...que nenni !(Polernaz)

- A Ninon(Lhuillier-Chapelle)

La belle... lessiveuse (Polernaz) ...gueuse (Tristan L'Hermite)

-Le trou...balourd(Polernaz)

Le troubadour (Germain Nouveau)

Vidange(Polernaz)

Vendanges (José-Maria de Heredia)

-Double naugrage (Polernaz)

Je m'embarque (de Vermeil)

Codicilles 

 

Odile (J. Cocteau) Additif-Polernaz

Théo (Edouard Guy) Coda-Polernaz 

             Création                                          

Sous le front incliné la phrase tourbillonne.

Trop obscurs sont les mots, bien loin l'enchantement...

Le poète insensé que la foi aiguillonne

Escompte le déclic mettant fin au tourment !

 

Il écoute la voix de l'onde cristalline,

Veut retenir le vent et peindre la beauté;

Saigner dans la douleur... mais louer Colombine

Et sent vibrer les sons d'un sujet indompté !

 

Son être est à l'affût de la forme magique

D'où jaillit l'étincelle enflammant son discours ;

L'esprit dans le brouillard, il cherche la musique,

Tel un fil conducteur venant à son secours !

 

Lorsque le vers surgit, en habit de lumière,

Avant qu'il ne s'envole, ainsi qu'un étourneau,

Sa muse le saisit d'une main familière,

Prélude encourageant la suite du rondeau !

 

Les mots échevelés se rangent en bataille,

Palpitants ou soumis, dansant sur le papier...

Le cœur empli d'amour, le poète travaille,

Mariant sa pensée au rythme épistolier !

 

En son âme sensible un couplet vient de naître,

Tant mieux si la tournure enchante le lecteur...

Dans cette discipline, il nest pas un grand maître,

Il donne un peu de rêve en humble créateur !...

 

 

 

A. Meynier  1997   

Annick Meynier

 

 

  1.  Création

 

 

 

 

 

 

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